Elle grimpe de l'église Notre Dame de Lorette, doucement puis frénétiquement, jusqu'à atteindre Abbesses.
Subtile enfilade d'antres caractérielles. On perçoit tout de suite qu'elle n'est que peu banale. Sillonne les contrées les plus éloignées. Traiteurs grecs cohabitent avec les gastronomes de l'île de beauté. Restaurants japonais, thaï et chinois. Et ici-bas, un jeune violoniste enchante nos oreilles.
Tchaikovsky.
"La chambre aux confitures", Ali Baba du sucre, boutique de bonbons et autres bizarreries suédoises, friperies et stocks en tous genres.
Incontournable et longue ruelle.
Une heure ne sera pas de trop pour découvrir ses mille charmes.
Courbette
Chaque jour est une vie. Paris bout à bout. Des cafés concerts aux plus belles promenades. Théâtre & cinéma. Couscous & macarons. Sourires & charmantes rencontres. Rêves, découvertes et ravissements. Et blablabla.
Lundi 13 février 2012 à 15:10
Rue des Martyrs. Merveille du 9ème.
Lundi 30 janvier 2012 à 14:22
Odeurs d'aisselles, répugnantes barres. Tronches malaimables, haleines peu fraîches. Sourires désenchantés. Lourdeur des pieds. Regards en biais. Douce musique du métro parisien en ces frileux matins.
D'abord si antipathique, les voyages sous terrain révèlent quelques merveilles. Et l'on se surprend à sourire. Apprécier.
Il existe de ces jours où le frêle son d'un accordéonniste, violonniste et autres adeptes d'Edith Piaf nous enlève aux carcans du mal-être.
Où les douces proses des hauts de wagons des lignes 6, 12 nous rappellent aux souvenirs baudelairiens; parfums exotiques enveloppant les odeurs fétides de leurs vers poétiques.
Où par chance vous rencontrerez un étrange Monsieur. "Contrôleur de bonheur", vous dira t-on. Et ne s'en ira point, sans votre plus charmant sourire.
D'abord si antipathique, les voyages sous terrain révèlent quelques merveilles. Et l'on se surprend à sourire. Apprécier.
Il existe de ces jours où le frêle son d'un accordéonniste, violonniste et autres adeptes d'Edith Piaf nous enlève aux carcans du mal-être.
Où les douces proses des hauts de wagons des lignes 6, 12 nous rappellent aux souvenirs baudelairiens; parfums exotiques enveloppant les odeurs fétides de leurs vers poétiques.
Où par chance vous rencontrerez un étrange Monsieur. "Contrôleur de bonheur", vous dira t-on. Et ne s'en ira point, sans votre plus charmant sourire.
Mercredi 25 janvier 2012 à 16:52
Facil ! Es como Barcelona. Ma médiocre connaissance de la langue des vieux rois de Castille ne vous en infligera pas plus.
Un lieu unique. Une perle parisienne.
Plus de six cent "espèces" de shots vous trouverez ! Noms biscornus, incongrus. Ignoble et ragoutante réussite.
Ambiance enflammée, sens plus que propre. Convivialité et chamallows grillés. Cocktails en carafe. Bar en chaleur sous les feux d'un alcool aux couleurs joviales.
Ne cherchez plus à savoir de quoi seront faits vos shots et autres cocktails. Ici on se laisse bercer, promener au fil d'une imagination débordante. Ici on s'aventure. Et on ne le regrette point.
Espit Chupitos !
117 rue Saint Maur
Métro Parmentier
Prix raisonnables (7euros le demi-litre de cocktail, 2,5euros les shots)
Vendredi 20 janvier 2012 à 14:23
Quand on est parisien, peut-être le sait on déjà, et encore.
Mais.
Les soirs d'hiver ne sont qu'enchantés de rencontrer les lumières des plus beaux édifices. Entre Madeleine, Concorde et Assemblée Nationale, les feux brillent de mille lueurs. Enchanteresses. Palpitante roue. Illuminations tour-eiffellesques. Il arrive que les attrappe touristes nous fassent rêver.
Passons par le pont de la Concorde.
Osons poursuivre jusqu'aux Invalides.
A 22h un soir d'hiver, le trajet est somptueux.
Madeleine-Concorde-Pont de la Concorde-Assemblée Nationale-Quais-Invalides.
Et si vous tombez sur un soir de lune rousse. Son reflet sur une Seine agitée enflamera le théâtre de vos sens.
Vendredi 20 janvier 2012 à 13:54
De deux choses l'une.
Se rappeler que les bouches de métro sont suspectes. De là s'en échappe de violents vents, chauds et impitoyables pour les demoiselles, les jours où jupes et robes sont de sortie.
Ne pas emprunter les portes "sortie de secours" au chantier des Halles, et sur n'importe quel terrain vague parisien, sous peine de se retrouver au milieu des gravas à se demander si ce sera là votre tombeau. Tels Sophie et Julien dans Jeu d'Enfants. (parce qu'évidemment, ces portes-ci ne s'ouvrent qu'en un sens).
Ne riez pas, expériences vécues.